Lisbeth Lempérier

Le nez en l’air et l’œil ouvert…

Une palette de couleurs encore fraîche, un couteau, une toile, voilà que surgit une composition sans étude préalable avec des immeubles de travers…. Ainsi nait la collection « Les citadines ».

S’en suivront les « Rurales » avec des petites maisons coincées entre les tours, comme entrées en résistance face aux envahisseurs d’espace.

Mais les maisons seront les plus fortes…

Se transformant en Villages. Tours, Maisons, Villages, Pignons…

Les yeux grands ouverts et le nez en l’air, l’artiste va saisir son environnement en zoomant sur les pignons, toits, cheminées et autres fenêtres du Cellier où Lisbeth vit depuis plus de vingt ans.

Tout est alors prétexte à être étudié, photographié et interprété sur la toile.

Le couteau sera son outil de prédilection comme le maçon avec sa truelle.